La Tourneuse des Epinettes Atout venant, initiation de parcours…

Atout venant, initiation de parcours…latourneusedesepinettes.blog


     En venant ici, parfois, comme on visite une cave (à vin!), une prairie de vacances…peut-être pourrez-vous partager des émotions ? Récolter des idées de lecture, de bavardage, de balade?

       Ici,  enfin (?), je voudrais écrire des phrases qui commencent par le plus simple :

 » JE ».

Dévoilé ? Mis à nu par mes commentaires même ?

  On le sait, rien ne dévoile le fond, quand bien même la peau serait-elle livrée à l’œil.

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petit matin at home, en vitesse avant la douche, l’image.

     Le plus ancien, aussi, dans le langage : JE.

Dire « JE » est toujours montrer son nu. Se mettre en danger d’être regardé.

     Et sans pour autant porter les masques des costumes à cravate, les rayures des apparences, les dialogues faussement libres des réseaux.

    En oubliant les travaux sur le langage, sa densité, ses reprises de vieille étoffe usée : au fil du clavier, et tant pis, parfois, si on le regrette !

     Ici, de façon très irrégulière (car pourquoi s’imposer des règles à mon âge ?), pour l’évident plaisir du récit, pour la puissance d’une émotion, pour si peu (?) aussi que le goût des mots et de la présence, ICI, pour l’excitation des paroles et des images.
Ici, de temps en temps donc, et sans autre réserve que la possibilité de rendre public sans offense, des images et des mots pour     trois     fois    l’  AIR 

REVES         REACTIONS         RIENS

   Sur ces pages d’écran, je vais aimer le possible d’un espace ouvert à la confidence, comme on ouvre un recueil oublié. Me permettre analyses et jugements que le métier et ses postures interdisaient. Parler de livres ou de films, de balades et de rencontres, et donner aux souvenirs la force des désirs (et inversement ?), avec une impudeur délibérée.

   J’ai ( donc, oui : « JE » ) interrogé l’hébergeur WordPress : on y autorise, avec une grande prudence, des images interdites de séjour ailleurs ( le puritanisme de Facebook), et c’est bien. De sorte que les images  ci-dessous…

…(tendres souvenirs)

ne sont  pas PROHIBEES : vraiment si loin de toute pornographie, à VRAI dire !

 

… En venant explorer  » latourneusedesepinettes.blog «  , parfois, comme on visite une cave (à vin!), une prairie de vacances…peut-être pourrez-vous partager des émotions ? Récolter des idées de lecture, de balade?

A plus tard…, non sans avoir pris connaissance de deux « nota bene » :


   Remarque 1 La  » Tordeuse des Epinettes « , d’où vient mon titre générique (par allusion aussi à un joli film : « La Tourneuse de pages »), est une sorte d’insecte très redoutable. Sous sa forme larvaire, la « Tordeuse », par milliers, ravage les jeunes feuilles de cèdre canadien, une variété qu’on nomme « Epinette ». Les papillons, ensuite, reproduisent le désastre, par leurs pontes.

 

   En trente à quarante ans, une forêt se voit ainsi exterminée : troncs secs, branches qui pendent, soyeux mais mortels cocons au lieu des fruits. Puis, faute de trouver à se nourrir ayant tout détruit (tiens tiens?), l’immense colonie de « Tordeuses » dépérit, s’amoindrit, semble disparaître.

   Protégés, profitant de l’espace laissé par les morts, de jeunes arbres poussent, vite, fort, bien. Jusqu’à ce que –hum hum– les générations suivantes de « Tordeuses » gourmandes, sortent de leur enkystement ( exhibant alors le couteau suisse et la serviette en papier : pique nique dans les cimes !).
Les agronomes décrivent, c’est leur métier. Selon eux, trente à quarante ans passent entre deux dégénérescences forestières. Tiens tiens. Chacun son rythme. C’est plus lent pour les glaciers.

   Les riches exploitants, qui désirent le rester, refusent la dinette des Tordeuses : selon les  » Provinces » au Québec (où tout ceci a lieu, mais heureusement c’est ailleurs…), le mal est attaqué de diverses façons : épandages vigoureux  et par avion léger d’insecticides mortifères, ou bucheronnage précoce des troncs avant maturité, mais à temps pour vendre de belles planches.

   J’avoue que l’histoire (la périodicité) de ces forêts, comme des devoirs et risques d’intervention, font réfléchir- bien au-delà des thématiques   » environnement ». Allô Spinoza?


Remarque -2 : 

Les textes sont originaux, sauf citation précise et référencée des auteurs.

Il n’en va pas de même pour les images.

     Une partie proviendra de mes propres déambulations. Que soit en ce cas, si on peut, pardonnée l’insuffisance technique. là aussi je suis amateur. Mais je vais (comme beaucoup) butiner sur le net. J’y choisis autant que possible des images libres de droit, bien sûr. Je les travaille (recadrage, couleurs, montage). Mais je ne sais pas toujours si les images d’origine, qui sont en circulation apparemment libre, ouvrent des droits ou pas. Je ne crains pas la police des web- d’ailleurs, à regarder de près.

 

SURTOUT, je suis  très respectueux du droit d’auteur et du droit à l’image.

     Ce blog est sans aucune dimension économique ( à vrai dire, j’ai payé l’abonnement aux services de « WordPress », mais ça va, 48 US dollars/an, on va s’en tirer…) et ne veux surtout pas créer la moindre gène à personne (sauf moi, mais j’assume).

DES LORS, IL VA DE SOI que , sur simple demande ( en « commentaires » et en précisant la séquence ) les photos éventuellement incriminées seront dans les meilleurs délais retirées du texte et des archives du blog. Engagement pris !


latourneusedesépinettes.blog

François-Louise TOFFIN  9 septembre 2018

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